« Rêvons nos rivières » : à la recherche d’une valeur d’ensemble
Au Québec, les concours sont pour la plupart abordés comme un mode d’adjudication de contrats publics à des professionnels du design (pris dans un sens large), avec pour principal objectif de réaliser un projet déjà assez bien défini sur un site prédéterminé. Ils s’accompagnent de documents types qui reproduisent, d’un concours à l’autre, des conditions similaires de conception, de présentation et d’évaluation des propositions, lesquelles prennent souvent la forme d’esquisses avancées ou même de dossiers préliminaires étonnamment élaborés. D’une part, un programme fonctionnel et technique (PFT) établit à l’avance les attentes détaillées – et parfois les solutions – du donneur d’ouvrage à l’égard du projet à réaliser, dans le sillage de modélisations qui ont servi à valider en amont les besoins et les budgets. D’autre part, un règlement pré-formaté (repris d’un modèle du MCC, du MAMOT ou de la Ville de Montréal) regroupe les informations qui ont trait au processus du concours, mettant à l’avant-plan des exigences contractuelles de plus en plus prégnantes, conséquence directe de l’assimilation des concours à un mode alternatif d’adjudication de contrats publics.
Dans ce portrait plutôt constant qui trace, à force de répétition, les contours d’une pratique quasi-officielle des concours à l’échelle québécoise, la Ville de Québec a décidé d’emprunter une autre voie, remontant à l’essence même des pratiques internationales, mettant à l’avant-plan non pas les processus, mais la recherche de créativité, d’ingéniosité et d’innovation que les concours sont sensés encourager. Avec le concours international d’idées « Rêvons nos rivières », les responsables de l’aménagement de la Ville ont imaginé, élaboré, défendu et mis en œuvre un concours différent, qui ne visait d’aucune manière la réalisation d’un concept désigné gagnant ni aucune commande à son terme, mais qui sollicitait plutôt un large éventail de visions pour enrichir une réflexion plus globale sur l’avenir des quatre rivières qui sillonnent son très vaste territoire. Le concours devient ainsi un « concours sur le programme », où les propositions ne sont pas considérées comme des réponses à des questions posées à l’avance, mais comme une occasion de poser différemment les mêmes questions ou d’en poser de nouvelles. Bien plus, ce n’est pas sur le projet gagnant que se porte l’attention, mais sur l’ensemble des propositions que le concours produit, comme autant d’opportunités créées, ce que le Laboratoire d’étude de l’architecture potentielle de l’Université de Montréal valorise depuis sa création. D’ailleurs, un concours n’est-t-il pas d’abord destiné à générer des possibilités, plutôt que de simplement résoudre des problèmes ou de donner forme à un programme ? Suivant une telle approche, on retourne en quelque sorte à l’essence même de ce qu’est un concours, remontant à ses plus lointaines origines, mais dans un contexte on ne peut plus actuel.
Le concours « Rêvons nos rivières » en était un d’idées, ouvert (anonyme), pluridisciplinaire et d’envergure internationale, tenu en une seule étape. Il s’adressait aux « architectes paysagistes, designers urbains, architectes, urbanistes et autres professionnels du design de l’environnement, susceptibles de proposer des idées à la fois ambitieuses et réalistes qui sauront guider la transformation et la conservation des rivières de Québec, de leurs berges et des aires qui les bordent, naturelles ou urbanisées ». Le règlement du concours tenait sur à peine dix pages, une fraction du nombre habituel. On y retrouvait explicitement énoncées, d’entrée de jeu, les attentes de la Ville envers les concurrents. La motivation principale de la Ville à organiser ce concours était ainsi présentée : « La Ville de Québec considérera l’ensemble des propositions reçues, indépendamment des prix attribués, comme un bassin de pistes d’aménagement qui s’ajouteront aux idées existantes pour éventuellement créer un plan directeur d’aménagement des rivières sur le territoire de la ville. Ce plan directeur servira à son tour de référence pour la planification de tout projet public, privé ou public-privé aux abords des rivières. » Ainsi, c’est sur la valeur d’ensemble des propositions reçues en réponses aux questions posées par la Ville que reposait ce concours, l’attribution de prix ne servant en fait qu’à encourager la participation et à mettre en lumière, parmi toutes les idées reçues, celles qui mériteraient une attention particulière pour présenter le plus grand potentiel d’influencer l’avenir des rivières de Québec, tant en regard de leur appropriation citoyenne que de leur pérennité au plan environnemental.
Il convient de préciser ici que des circonstances particulières ont joué un rôle majeur dans la détermination du type de concours et des conditions de sa mise en œuvre. La volonté de la Ville d’agir rapidement, devant conclure le concours plusieurs semaines avant la date inéluctable des élections municipales (5 novembre 2017), ne permettait pas d’envisager un concours en deux étapes. Pourtant, l’étendue du territoire à couvrir et la complexité des enjeux l’aurait pleinement justifié, les propositions étant évidemment plus élaborées dans un concours avec finalistes (rémunérés) que dans un concours ouvert anonyme (sans rémunération). Mais d’un autre côté, un concours ouvert permettait à la Ville de plus facilement rencontrer son objectif d’obtenir un vaste éventail d’idées pour élaborer un éventuel plan directeur de manière plus inspirée. Il a donc fallu créer une formule hybride, comme un concours d’idées avec un échéancier assez compressé, mais avec des prestations plus substantielles qu’à l’habitude, permettant d’ainsi couvrir la très vaste étendue du territoire à considérer (que la Ville ne voulait d’aucune manière réduire), tout en embrassant plusieurs échelles d’interventions en parallèle : celle du territoire (avec quatre rivières mises en relations), des secteurs d’interventions (plusieurs par rivière, préalablement identifiés en groupes d’idéation) et l’échelle humaine (portant sur les mêmes secteurs, à rendre par des perspectives d’ambiance). Chacune de ces échelles correspondait précisément à l’une des trois planches exigées. Afin d’éviter la dispersion, la Ville a accepté que tous les secteurs d’intérêts ne soient pas couverts par chacun des concurrents, limitant ses demandes à au moins trois secteurs d’intérêts pour au moins trois des quatre rivières (Cap-Rouge, Saint-Charles, Beauport et Montmorency). Il était espéré – et cela s’est avéré – que l’ensemble des propositions reçues couvriraient au final la majorité des sites pressentis par la Ville pour y réaliser d’éventuels aménagements. Aussi, laisser libre le choix des sites permettait justement à la Ville de valider ou d’invalider ses anticipations, ce qui constitue en soi un autre apport intéressant aux réflexions en cours.
À première vue, il semble décevant que des 211 équipes inscrites au concours, seulement 21 aient donné suite avec une proposition complète. D’une part, cela s’explique par le caractère inhabituel du concours, comme un concours d’idées relativement court tenu en période estivale, en une seule étape, significativement plus exigeant qu’à l’habitude (internationale) au plan de la réflexion à engager sous de multiples aspects et sur un vaste territoire, ainsi qu’au plan de la prestation (3 planches A0 couvrant plusieurs sites). Mais au-delà de ce taux de réponse plutôt faible à première vue, c’est le sérieux et la richesse des propositions reçues qui se dégagent avec éloquence des quelques 63 planches (tout de même 70 m2 d’idées) qu’a dû évaluer le jury, guidé dans son travail par un ensemble de critères d’évaluation précis mais ouverts, rédigés de manière à solliciter l’imprévu, voire l’imprévisible.
Le jury a bien compris les particularités de ce concours, en ce qui a trait à la fois aux attentes de la Ville, aux propositions à fournir, aux enjeux à couvrir et aux immenses défis auxquels devaient s’attaquer les concurrents. Il a d’abord consacré l’entièreté de sa première journée de travail à visiter les lieux les plus souvent identifiés par les concurrents comme des secteurs d’intérêt, permettant du coup d’engager une lecture collective très riche de l’état des lieux et du potentiel du territoire. La journée des délibérations qui a suivi s’est avérée fertile en découvertes, en parfaite concordance avec les objectifs singuliers de ce concours, le jury ayant effectivement consacré le meilleur de ses énergies à bien saisir et à faire clairement ressortir, à force d’en discuter, la valeur d’ensemble de toutes les propositions reçues, plutôt que de s’attarder à les comparer dans le but de trouver laquelle ou lesquelles mériteraient d’être désignées gagnantes. Il n’est donc pas surprenant que le jury ait tenu, dans son rapport [1], à commenter l’ensemble des propositions reçues, non seulement les trois lauréates. Et lorsqu’il dut justifier le choix des propositions lauréates, était bien mis en évidence en quoi ces trois propositions lauréates sont complémentaires et forment conjointement une proposition cohérente, comme un triangle immuable dont aucun segment ne peut être retiré sans en briser l’intelligibilité. On ne saurait mieux résumer que le président du jury Jandirk Hoekstra, dans une vidéo présentée aux médias au moment même du dévoilement des résultats du concours [2], à quoi tenait ce concours et quels en ont été les bénéfices. Le jury, incontestablement, a pleinement compris et pris en charge la mission que la Ville lui avait confiée. Comme les concurrents, apparemment.
Sans être exemplaire en tout, puisque de sortir des sentiers balisés comporte forcément son lot de risques, d’incertitudes et d’espoirs partiellement satisfaits, ce concours ouvre la voie à d’autres possibilités qui manquent peut-être au Québec, plus axées sur des ambitions partagées et moins sur les procédures; autrement dit, des concours qui font une plus grande place aux opportunités et aux potentialités formidables du rêve, comme ceux auxquels on se donne la permission d’aspirer et qu’on souhaite voir un jour se concrétiser.
[1] https://www.ville.quebec.qc.ca/apropos/planification-orientations/environnement/eau/rivieres/docs/ConcoursRivieresVQ_RapportJury_FINAL.pdf
[2] https://www.youtube.com/watch?v=jkfirtodXPE&feature=youtu.be
Dans le cadre du Plan des rivières, la Ville de Québec lance un concours international d'idées qui vise l'aménagement des principales rivières qui sillonnent son territoire, soit les rivières du Cap Rouge, Saint-Charles, Beauport et Montmorency.
Chacune d'entre elles se distingue par des caractéristiques physiques, une histoire, des potentialités et des enjeux particuliers, en même temps qu'elles partagent un riche patrimoine en tant qu'affluents du majestueux fleuve Saint-Laurent, qui borde la ville de Québec et en forge l'identité depuis sa fondation en 1608.
Au moment où les autorités municipales envisagent de poser des actions dans le but de développer et de pérenniser les rivières sur le territoire de Québec, ce concours survient comme un évènement charnière qui inspirera et orientera éventuellement la planification d'un ensemble de projets de nature variée à réaliser à moyen ou à long terme. Il permettra également de créer une signature pour les rivières visées par le plan ou un fil conducteur entre elles.
Le concours international d'idées vise principalement à inspirer les autorités municipales pour l'élaboration et la mise en oeuvre d'un plan directeur permettant l'atteinte des objectifs suivants :
- Améliorer l'accessibilité aux rivières, tout en préservant leur qualité ;
- Protéger et mettre en valeur les milieux naturels sensibles ;
- Dépasser les limites récréatives et profiter des quatre saisons ;
- Renforcer le sentiment d'appropriation des citoyens envers les rivières et leurs milieux environnants ;
- Relier les équipements récréotouristiques existants et à venir ;
- Définir les potentiels de développement et de requalification urbaine des secteurs d'intérêt ciblés ;
- Retisser les liens avec les quartiers ;
- Mettre en valeur la culture et le patrimoine.
Le concours est ouvert, pluridisciplinaire, d'envergure internationale et tenu en une seule étape. Il s'adresse aux architectes paysagistes, designers urbains, architectes, urbanistes et autres professionnels du design de l'environnement susceptibles de proposer des idées à la fois ambitieuses et réalistes qui sauront guider la transformation et la conservation des rivières de Québec, de leurs berges et des aires qui les bordent, naturelles ou urbanisées.
(Tiré du programme du concours)
Rapport du jury
Préparé par Jacques White, conseiller professionnel v4_13 septembre 2017 - approuvées par le président du jury et le conseiller professionnel
Ce rapport résume, de manière synthétique, les étapes d'évaluation des propositions suivant la procédure décrite en page 10 de la Partie B des documents officiels du concours.
Vingt-et-une (21) propositions ont été reçues à l'échéance prévue du 25 août 2017. Aucune proposition n'a été écartée par le conseiller professionnel pour non-conformité aux règles de participation au concours, les dérogations relevées étant mineures, ce qu'a confirmé le jury lors de la séance d'évaluation tenue le 2 septembre 2017.
Toutes ces propositions ont été communiquées au jury par voie électronique le 26 août 2017, pour examen et classement préalable individuel sur un tableau d'analyse commun.
Le comité technique, composé de quatre (4) personnes, s'est réuni le 30 août 2017 pour analyser toutes les propositions reçues en regard d'enjeux techniques et locaux dont le jury devrait être informé pour une évaluation plus complète des propositions.
Les membres du jury se sont d'abord réunis toute la journée du 1er septembre pour une visite des quatre rivières qui font l'objet du concours, couvrant plusieurs secteurs d'intérêt parmi les plus représentés dans les propositions reçues.
La séance d'évaluation proprement dite s'est tenue la journée du 2 septembre, à huis clos, dans les locaux de l'École d'architecture de l'Université Laval. Étaient présents les sept (7) membres du jury (Jandirk Hoekstra, Claude Cormier, Jérôme Dupras, Ken Greenberg, Julie Lemieux et Jacques Soignon), le conseiller professionnel (Jacques White), deux observatrices de la Ville de Québec (Sharon Clavet et Marysela Rubiano) ainsi qu'un étudiant gradué pour le support logistique (Alexandre Côte). La séance s'est déroulée comme suit:
- Introduction par le conseiller professionnel.
- Révision des étapes de la séance d'évaluation par le président du jury.
- Tour de table sur ce parait le plus important aux yeux de chacun pour l'avenir des rivières de Québec et sur ce qui ressort des propositions, dans leur globalité.
- Retour sur l'ensemble des (8) critères d'évaluation des propositions.
- Partage des résultats du tableau d'analyse rempli en ligne, complété sur place pour certains. Les projets sont classés en quatre (4) catégories selon les résultats préliminaires obtenus de ce tableau. Aucune proposition n'est rejetée avant d'avoir fait l'objet d'une discussion sur ses forces et faiblesses.
- Le jury confirme que toutes les propositions reçues sont réputées conformes.
- Une première ronde d'élimination écarte, de la liste des candidats potentiels à obtenir 2 un prix, les propositions suivantes (en ordre alphabétique) : DM356 ; GU357 ; JM612 ; KK761 ; MS221 ; NV723 ; TB329 ; WN386 ; YV189 ; ZB521.
- Deux (2) propositions sont gardées de côté pour analyse ultérieure plus approfondie : OJ922 et UL686.
- La proposition YN315 est temporairement retenue à titre de candidat potentiel à obtenir un prix.
- La proposition LJ953 est gardée de côté pour analyse ultérieure plus approfondie.
- Retenues en première ronde, les propositions EM455 et PS351 sont écartées.
- Les propositions suivantes se distinguent pour être, à cette étape d'évaluation, les plus susceptibles d'obtenir un prix : AD124; DT964; YN315.
- Les propositions suivantes sont toujours dans la course, présentant chacune des forces particulières qui retiennent l'attention du jury : AC123 ; CX441 ; IS654 ; LJ593 ; OJ922 ; UL686. Une discussion s'ensuit sur la pertinence d'attribuer des mentions.
- Les neuf (9) projets restants sont tour à tour discutés en plus amples détails en rapport à leurs forces et faiblesses, en lien avec les critères d'évaluation.
- Le jury retourne à une analyse individuelle des propositions restantes.
- Suit un tour de table exhaustif sur les points positifs et négatifs des trois (3) propositions les mieux classées pour obtenir un prix. Le jury décide que ces trois propositions correspondent aux lauréats du concours, dont il reste à décider l'ordre.
- Le jury décide qu'il n'attribuera pas de mention parmi les six (6) autres propositions, mais que son rapport devra faire état de l'intérêt des idées qu'elles proposent à la Ville en regard d'un éventuel plan directeur d'aménagement des rivières.
- Marysela Rubiano, représentante du comité technique, fait rapport au jury des points saillants de l'analyse du comité sur les trois (3) propositions préalablement identifiées comme lauréates.
- Une délibération suit sur l'attribution des 1er, 2e et 3e prix. Au terme de cette délibération, le jury rend son verdict final.
Le jury désigne finalement, confirmations individuelles à l'appui, les propositions suivantes à titre de lauréates du concours :
- 1er prix : DT964
- 2e prix : AD124
- 3e prix : YN315
L'identité des gagnants est révélée au jury, à partir de la liste confidentielle des inscriptions.
Les délibérations du jury ont été consignées, sur l'ensemble de la journée, par Marysela Rubiano. Les notes de celle-ci ont servi au conseiller professionnel afin de préparer la synthèse, ci-après, des arguments les plus décisifs qui ont milité en faveur des trois (3) propositions gagnantes et des six (6) autres propositions qui ont particulièrement retenu l'intérêt du jury.
(Consultez les projets des concurrents pour les commentaires spécifiques du jury)
Autres commentaires
Les trois propositions lauréates représentent ensemble, aux yeux du jury, une proposition cohérente et complémentaire. Elles incitent, respectivement, 1er) à se mettre immédiatement au travail, déployant des stratégies réalistes et légères dont on peut attendre, sans efforts démesurés, un réel impact à court terme ; 2e ) à donner vie aux rivières, à se les réapproprier et à raconter leur histoire ; 3e ) à engager une réflexion sur le long terme, au-delà des actions à court et à moyen terme, sur les zones à préserver et à développer de manière durable autour des rivières. 5 Le jury n'a pas attribué de mention. Il tient toutefois à souligner, dans son rapport, l'intérêt d'idées relevées dans d'autres propositions qui pourraient inspirer la Ville de Québec dans sa préparation d'un éventuel plan directeur d'aménagement des rivières.
Jacques White Conseiller professionnel - architecte - directeur, école d'architecture de l'Université Laval
(Rapport du jury: version intégrale)
Président du jury |
Jandirk Hoeskstra, Architecte de paysage
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Jury | Claude Cormier, Architecte paysagiste |
| Jérôme Dupras, Écologiste |
| Ken Greenberg, Architecte et urbaniste |
| Julie Lemieux, Journaliste |
| Jacques Soignon, Directeur de services municipaux |
| Annie Tardivon, Architecte paysagiste |
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Appel de propositions: 1er mai 2017
Limite d'inscription: 30 juin 2017, 17 h HAE
Limite d'envoi de questions: 10 juillet 2017, 17 h HAE
Limite de réponses aux questions: 17 juillet 2017
Limite de remise des propositions: 25 août 2017, 17 h HAE
Délibération du jury: 2 septembre 2017
Annonce des lauréats: 11 septembre 2017
Dévoilement des propositions et début de la diffusion: 11 septembre 2017
(Tiré du règlement du concours)
ArchCompetitions, Reinventing our rivers, 2017
ArtNagrada, Rethinking Our Rivers, 2017
CityCelebrity, Rethinking Our Rivers, 2017
Competitions.archi, Rethinking Our Rivers/Revons nos rivières, 2017
Dexigner, Reinventing Our Rivers: Call for Ideas, 2017
Almudena Fuentes, Concurso Internacional de Ideas “Soñemos nuestros Ríos”, 2017
Quebec Hebdo, Faire revivre les rivières d'ici, 2017
Kollectif, Concours international + interdisciplinaire d’idées | « Rêvons nos rivières », 2017
Catherine Lachaussé, Rêvons nos rivières, Cet après-midi, 2017
Stéphanie Martin, Aménagement des berges: Un concours international pour «rêver» les rivières, Le Journal de Québec, 2017
Annie Morin, Appel à l'international pour rêver les rivières, 2017
Entreprises Québec, Appel de candidatures pour le concours international d’idées « Rêvons nos rivières », 2017, Entreprises Québec
Le Réseau d'Information Municipale du Québec, Concours international d'idées - Rêvons nos rivières : un appel aux créateurs du monde entier, 2017
ICI Radio-Canada, La Ville de Québec cherche des idées pour aménager ses rivières, 2017
L'Écolo À Vélo, Rêvons nos Rivières, Capsule les Héros de l'Écolo, 2017
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- Questions et réponses
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- Rapport du jury (global)