Une affinité existe entre le cercle et la représentation d'un planétarium. La plupart de ces bâtiments comporte une forme sphérique qui symbolise le théâtre des étoiles. Ici, deux calottes sphériques représentant les théâtres, posées sur un cylindre, font cohésion et unité. De par sa forme, le bâtiment adresse toutes les directions, sur ce site où les circulations et les repères sont multiples.
Bâtiment BLANC à l'extérieur pour harmoniser avec le contexte, NOIR à l'intérieur pour créer une expérience immersive.
Les espaces muséologiques, répartis entre les niveaux 200 et 300, plongent le public dans le noir, en contraste à la transparence et la blancheur des espaces d'accueil.
À partir de l'accueil, l'accès à un vestibule, sorte de partie basse de la salle des pas perdus au niveau 300, donne sur la salle d'exposition permanente. Ce vestibule, qui introduit le visiteur dans le noir, est formé d'une paroi de verre dont le degré d'opacité et de transparence sera à définir afin de bien démarquer l'entrée dans cette zone.
Des escalators amènent le public au niveau 300 à la salle des pas perdu proprement dite. Cet espace comporte la superficie programmée et permet d'accueillir des événements, malgré le vestibule au niveau 200. La forme circulaire et les espaces bien disposés permettent de maximiser les espaces de circulation sans dépasser la superficie totale du bâtiment.
Symétriquement par rapport aux escalators et disposés de chaque côté, les deux théâtres des étoiles sont facilement identifiables par leur forme cylindriques. Leurs portes d'accès sont disposées à permettre le flot du public dans une seule direction et à éviter que les gens qui entrent ne rencontrent ceux qui sortent. La terrasse pourrait être accessible, selon les intentions, par l'entremise d'un sas afin de préserver la noirceur durant la journée.
(Tiré du texte du concurrent)
13 numérisés / 10 accessibles
- Planche de présentation
- Perspective
- Perspective
- Perspective
- Plan
- Axonométrie
- Plan
- Plan
- Plan
- Coupe