Nous vous proposons un ensemble et système visuel de volumes parallélépipèdiques blancs dont les dimensions et la position peuvent changer selon des critères routiers, événementiels, scéniques, scénographie, de définition d'espaces publics; mais aussi, peuvent résister au vent et l'accumulation de la neige afin de préservation et longévité du système.
Les parallélépipèdes blancs neige font bien sur références à l'écran blanc et vierge inventé au début du 20è siècle pour le cinéma mais aussi au premier théâtre dadaïste et surtout sur-réaliste des années 1910 puis 1930; certaines troupes montréalaises des années quatre-vingt; et les personnages-écrans du Bauhaus. Il font aussi référence à la glace et la débâcle de chaque printemps.
Au delà de son rôle premier d'écran, le système d'écrans permet de modifier l'espace en utilisant ses partie pour bloquer, accentuer, dilater, mettre en tension les volumes construits existants. Par sa mobilité (par moteurs électriques et téléguidage par techniciens) ce système peut-être déplacé tous les soirs, produisant ainsi une certaine surprise au quotidien, le jour suivant. À un niveau plus théorique, la multitude d'écrans blancs et neutres fait sans doute référence à l'index et au sériel, au courant d'art actuel basé sur la manoeuvre et le contexte plutôt qu'à un objet précis ou la fabrication de nouveaux objets.
La diversité des possibles configurations spatiales exultes la transformation et l'action de transformer. Après le DJ (Disc Jockey) et VJ (Video Jockey), il y aura maintenant le SJ pour Space Jockey. Avec le spectrum des mouvements possibles (jusqu'à 24 mètres de hauteur; de 6 à 54 mètres de diamètre) permet des interventions artistiques au delà de la projection et permet d'hypothétiques spectacles de danses ou de pièces de théâtre.
(Tiré du texte du concurrent)
La proposition suivante est éliminée dû au on respect du budget et proposition d'ordre général sans lien avec le site.
(Tiré du rapport du jury)
2 numérisés / 2 accessibles
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