Ici, le mur mitoyen se dédouble, formant ainsi un écran permettant d'y projeter les mémoires d'autres époques. Inséré entre ce jeu de parois, un hall multimédia, ouvert sur tous les étages, forme une faille qui résonne dans tout le projet, y jouant de multiples rôles, dont celui d'espace de circulation principal. L'espace d'exposition quant à lui déployé sur plusieurs étages se veut flexible et polyvalent. Alors que la façade sur Place-Royale témoigne d'un grand respect et d'une grande sensibilité à son environnement, la façade sur la Côte de la Montagne se veut plus imaginative et mouvementée.
(Texte CCC)
Le jury a reçu avec enthousiasme ce projet en raison de la force de son parti et de la sensibilité de ses façades.
On y a reconnu un projet direct, franc, témoignant d'une richesse et d'une imagination pleine d'éclat.
Le projet s'inscrit dans une volonté de respect de l'échelle et des caractéristiques du milieu bâti du Vieux-Québec, le tout teinté d'un peu de romantisme.
Pour certains membres du jury, la complexité technique de certains éléments dont les façades inclinées, les toits de forme gauche et la toiture de verre risque de générer un projet dont la pérennité et l'entretien sont questionnables.
Le jury a apprécié l'organisation spatiale qui témoigne d'un souci de concentration des aires d'exposition. En contre-partie, le principe de déambulatoire dans les salles représente une contrainte quant à l'aménagement muséographique à venir.
Le jury a trouvé ambigu la définition de la circulation de transit entre la Côte et la Place: l'emplacement des escaliers imposent un double contrôle des accès pour le centre.
(Tiré du rapport du jury)
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- Planche de présentation
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- Extrait de planche
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