Dans le centre-ville de Vancouver, les toits des tours existantes sont considérés comme un espace résiduel et sont constitués de matériaux durs et réfléchissants qui absorbent le rayonnement solaire et le renvoient sous forme de chaleur vers le ciel. Par conséquent, les toits existants contribuent de manière significative à l'effet d'îlot de chaleur urbain. Ce projet considère les toits existants comme un site potentiel pour relever ce défi. Il vise à résoudre le problème en construisant une structure habitable autosuffisante sur le toit qui pourrait générer une éco-topographie ainsi qu'une topographie sociale grâce à une conception durable.
Le "pixel vert du toit" consiste en un groupe de tours de ventilation orientées chacune dans une direction différente. La peau extérieure de chaque tour est un mélange de "pixels" générateurs d'énergie qui sont soigneusement placés pour capter un maximum d'énergie solaire en toute saison. Des zones appropriées de verre à faible émissivité sont prévues pour apporter de la lumière naturelle selon la fonction des espaces. Un bassin de lotus est placé au-dessus du local technique de la tour existante pour recueillir l'excès d'eau de pluie de Vancouver. L'eau de pluie est ensuite distribuée dans les fondations creuses en acier isolées situées en dessous afin de créer une masse thermique pour la nouvelle structure. La structure au sommet de la fondation est faite de Bio-SIPS recyclé avec des tuyaux d'eau intégrés. Le nouveau "pixel vert" sur le toit sera capable d'échanger de l'énergie avec la tour existante par le biais de la salle mécanique existante sur le toit (échange d'eau de pluie, échange et récupération de chaleur, etc.)
(Tiré du texte du concurrent)
(Traduction automatisée non officielle)
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- Planche de présentation
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- Photomontage
- Axonométrie
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- Coupe
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- Plan
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- Schéma
- Schéma
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