« L'objectif principal de ce projet consiste à faire de l'ensemble du site le foyer culturel de la Ville de Lévis, dans lequel sont déjà implantés un musée (la maison Louise-Carrier) et un centre d'art dramatique; l'Anglicane. »
(Tiré du texte du concurrent)
Dans ce projet, la dimension paysagère est génératrice puisque les architectes ont conçu l'ensemble comme un lieu et non comme un bâtiment. Le rapport étroit entre l'architecture et la nature sert ici à intégrer l'intervention architecturale en la confondant parmi un paysage d'arbres, de plantations et de sculptures.
Les architectes ont souhaité agir par contraste et marquer la distance entre le foyer, logé dans la partie nouvelle de facture contemporaine, et la salle, logée dans l'objet de valeur que constitue l'Anglicane.
Le parvis constitue une composante importante du projet. On a souhaité offrir aux usagers du théâtre un agora urbain constitué de gradins et couvert partiellement d'une marquise. Cet espace converge vers le vestibule du foyer et la colonne de verre est formée par le monte-personnes. La marquise formée par un plan incliné est supportée par une paroi ajourée constituée de profilés d'acier « corten » qui sert de mur d'affichage pour de grandes affiches imprimées sur toile, tendue entre ciel et terre.
(Texte CCC)
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