Des dômes de lumière éphémères enfermés dans d'élégants cubes translucides d'acier et de verre, placés dans un bassin d'eau réfléchissant, établissant ainsi un lieu sacré encadré par un anneau construit contenant les autres éléments du projet.
Points forts :
Un concept brillant, imaginatif et minutieusement exécuté et représenté, qui répond à la fois aux exigences séculaires et religieuses par des moyens du 21e siècle, le verre et l'acier. Le positionnement des deux cubes dans le plan d'eau du site permet la contemplation et l'émerveillement en fusionnant le ciel et l'eau. Une véritable expérience religieuse. Cette conception nous conduit également vers le 21e siècle des bâtiments durables en utilisant la végétation et l'eau et en tenant compte de la récupération de la chaleur et de l'ombrage optimal du soleil. La solution minimaliste est un régal pour les yeux, crée un point de repère frappant et a le potentiel de devenir un objet de pèlerinage architectural.
Cette proposition offre une nouvelle approche du concept copte très important selon lequel l'église est « le paradis sur terre », en créant un dôme éphémère de lumière ; une véritable contribution au débat sur la renaissance d'une expression architecturale copte contemporaine.
Points faibles ou modifications nécessaires :
La difficulté de représenter l'icône du Christ sur le dôme éphémère constitue un défi pour la réinterprétation du langage formel de l'architecture religieuse copte traditionnelle. Le plan du site semble trop introverti, entourant la cathédrale et l'église d'un mur continu jusqu'aux rues publiques. Le phasage est problématique, toutes les fonctions étant regroupées dans un seul bâtiment. Il est peu probable que le projet corresponde à la fourchette budgétaire de la construction d'une église, telle qu'elle est définie dans le cahier des charges.
(Tiré du commentaire du jury)
(Traduction automatisée non officielle)
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- Perspective
- Plan d'implantation
- Plan
- Plan
- Élévation
- Élévation