L'organisation du plan autour d'un grand espace central ouvert sur toute la hauteur du bâtiment, procurant une vue d'ensemble de la bibliothèque.
Le respect de la répartition des secteurs imposée par le programme.
La création d'un secteur de périodiques pour les enfants habilement relié à celui des adultes et en façade de la rue Saint-Just. Ces secteurs étant très fréquentés, ils révèlent aux passants l'activité intérieure de la bibliothèque. A l'opposé derrière l'escalier principal, un espace de même dimension est consacré au secteur audiovisuel et à l'écoute de musique, face à un jardin clos propre au calme et à la réflexion.
La qualité de la lumière provenant des trois lanterneaux en toiture, stratégiquement placés au dessus des salles de travail et de lecture et au dessus de l'espace central.
La position et l'aménagement de l'entrée principale ne la rendent pas assez perceptible en façade.
L'utilisation d'un crépi comme enveloppe extérieure de l'étage, probablement choisi pour alléger la masse du bâtiment, n'est pas convaincante dans le contexte du quartier.
Même s'il eut été possible de diminuer certaines dimensions du plan, le bâtiment propose un pourcentage d'implantation dépassant celui imposé par le règlement de zonage.
(Tiré de la revue ARQ #86 août 1995, p.10)
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